En discutant avec ce monsieur, nous avons eu droit à l’historique d’une famille parisienne qui à émigré en auvergne pour élever du bétail au debut du XIXe siècle. Aux souvenirs d’une enfance heureuse à la ferme se mèle la nostalgie d’une vie plus simple et saine.
Retraité, il survit avec 600 euros par mois et à adopté un régime alimentaire "très italien" comme il l’apelle. Des pâtes, et des pâtes.
Les trois litres de lait frais gratuitement distribués par les producteurs indépendants mécontents lui permettront, on l’espère, de se faire une petite crême "italienne".
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